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Jardin optimiste au printemps
19 mars, 2017, 13 h 25 min
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Nous construisons une serre rudimentaire et faisons nos semis

Jardiner ensemble, échanger des savoirs,

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  • Planter, produire, entretenir et consommer sa production

 

recherches et conseils

1)Le compost

  • http://www.gerbeaud.com/jardin/jardinage_naturel/compost-utilisation,1546.htmlComment utiliser le compost ?

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    Le compost est un allié précieux pour le jardinier. Plantes en pot, légumes du potager, massifs fleuris, arbres fruitiers, arbustes, gazon : toutes les plantations peuvent bénéficier de ses apports nutritifs. Et comme le compost permet aussi d’améliorer durablement le sol, on n’hésite pas à l’utiliser… sans modération !

    Le compost : plus qu’un engrais, un amendement

    Le compost est souvent considéré, à tort, comme un engrais. Certes, il enrichit le sol en éléments nutritifs, comme les engrais, mais contrairement à eux, il fait bien davantage : il améliore aussi la structure du sol, sa stabilité, en un mot, sa fertilité, et ceci, de manière durable. Le compost est donc, à ce titre, un amendement. Et un amendement facile à obtenir, économique, et simple à utiliser !

     

    Utilisation du compost au jardin

    Quel intérêt d’apporter du compost ?

    Enrichir le sol et corriger les carences

    Le compost, en achevant de se décomposer dans le sol, apporte aux plantes les principaux minéraux dont elles ont besoin : de l’azote, du potassium et du phosphore, ainsi que d’autres éléments (minéraux et oligo-éléments).

    Contrairement aux engrais minéraux (et certains engrais organiques), le compost a l’avantage de ne pas brûler les racines des plantes, et il libère ses éléments nutritifs lentement et progressivement : le sol est durablement enrichi.

    Les carences les plus courantes des plantes du jardin ou de la maison peuvent être corrigées simplement avec des apports de compost, sans risque de surdosage (lire aussi : Carences : les identifier et les corriger).

     

    Apport de compost au gazon

    Améliorer et rééquilibrer les sols

    Ce qu’il y a de bien avec le compost, c’est qu’il a la capacité d‘équilibrer les sols : d’un côté, il allège les sols lourds et argileux et en améliore le drainage, et de l’autre, il permet aux sols sableux de mieux retenir l’eau et les nutriments. Des apports réguliers de compost (tous les 3-5 ans) améliorent ainsi la structure du sol sur le long terme, quelle que soit sa nature, en restaurant le complexe argilo-humique : le sol est plus meuble, plus aéré, sa capacité de rétention d’eau est améliorée, les racines s’y développent mieux, les éléments nutritifs sont moins lessivés par les eaux de pluie ou d’arrosage…

     

    Apport de compost – Sol pauvre

    Favoriser la vie du sol

    Comme d’autres sources de matière organique (BRFengrais verts…), le compost favorise la vie du sol (champignons bénéfiques comme ceux qui interviennent dans la symbiose mycorhizienne, micro-faune, vers de terre…). Or, un sol plus vivant, c’est à coup sûr un sol plus fertile, moins fragile.

     

    Compost et ver de terre au pied d’un fruitier

    Paillage nutritif

    Utilisé comme un paillis, le compost cumule les avantages de l’amendement et celui du paillage. Il protège le sol (et donc les racines des plantes) du froid en hiverde la chaleur et de la sécheresse en été, et comme il est de couleur sombre, presque noire, il aide le sol à se réchauffer plus vite au printemps, en absorbant l’énergie solaire.

     

    Apport de compost au potager au printemps

    Comment utiliser le compost ?

    Le compost peut s’utiliser de nombreuses manières, pour tous les végétaux du jardin, ou presque :

    • Répandu en grosses poignées au pied de toutes les plantes de massifs, de bordures… puis incorporé superficiellement par griffage (+/- 3 kg par m²);
    • Surfaçage des plantes en pot : retirer 2 cm de « vieux » substrat en surface, et le remplacer par du compost ;
    • Etalé sur le sol en couche de 3 à 5 cm d’épaisseur, comme un paillage sur un sol biné et désherbé, au pied des arbustes, des rosiers, des arbres fruitiers, des vivaces ;
    • Au potager, répandu et griffé au pied des légumes gourmands ou incorporé au sol avant les plantations ;
    • Mélangé à la terre de jardin lors des plantations (1/4 de compost, 3/4 de terre) ;
    • Pour fabriquer du terreau rempotage « maison » (1/2 de terre de jardin + 1/4 de compost + 1/4 de sable de rivière si la terre est lourde ; ou 2/3 terre de jardin + 1/3 de compost si la terre est légère et friable ; à enrichir éventuellement d’engrais organique type sang séché, corne broyée…) ;
    • Pour améliorer les sols lourds, sableux ou pauvres : épandre 10 à 20 litres de compost par m² et incorporer au sol ; opération à renouveler tous les 3 à 5 ans ;
    • Pour nourrir le gazon : répartir le compost sur le sol après scarification (2 à 5 litres de compost par m²)…

    Remarque : ces données quantitatives sont une moyenne. Selon l’état de votre sol, les besoins de vos plantes, ces quantités peuvent être adaptées (le risque de surdosage est quasi nul tant que l’on reste dans des proportions raisonnables).

    >> Lire aussi : Terreau, compost, quelle différence ?

     

    Bande de pelouse ayant reçu du compost

    Quand apporter du compost ?

    Le compost peut être utilisé tout au long de l’année. Pour tous les paillages et pour les apports d’automne, on pourra utiliser du compost mi-mûr, qui achèvera de se décomposer durant l’hiver. Du printemps à l’automne, on préférera apporter aux plantes du compost mûr, qui commencera aussitôt à libérer ses éléments fertilisants.

    >> Lire : Mon compost est-il mûr ?

     

    Compost mûr

    A noter

    Le compost libère mieux ses éléments nutritifs lorsqu’il est répandu en surface (en paillage) ou incorporé dans les couches superficielles du sol.

     

     

     

    Mon compost est-il mûr ?

    Le compost doit être mûr pour être utilisable au jardin, faute de quoi il risquerait d’être néfaste pour les plantes. Trois indices importants témoignent de la maturité du compost.

    Sa texture

    Un compost mûr prend une apparence homogène. Vous ne devez pas reconnaître les résidus de feuillages, d’épluchures, ou d’autres éléments qui y ont été incorporés. Ces éléments se sont décomposés, et il ne reste que des petits fragments friables et légers. Si vous prenez une poignée de compost dans votre main et que vous serrez puis relâchez, les éléments ne doivent pas coller les uns aux autres en formant un boudin.

    Sa couleur

    Le compost mûr prend une couleur brune, presque noire et homogène comme celle du terreau du commerce.

    Son odeur

    Un compost mûr dégage une odeur agréable d’humus, de sous-bois forestier. Si l’odeur est forte ou désagréable, le compost n’a pas fini son processus de maturation.

     

    Terreau et compost : quelle différence ?

     

    On confond souvent ces 2 termes, alors qu’ils désignent des produits de nature et d’emploi bien différents.

    Le compost, qu’on doit essayer de réaliser soi-même, est obtenu par la décomposition de produits naturels, comme les déchets de cuisine (épluchures…) et ceux du jardin (restes de taille, herbe tondue, feuilles mortes…). Riche en humus, il fait office d’engrais organique « maison ». Il améliore la structure du sol, et apporte des substances nutritives aux plantes. On parle d’amendement.

    Autrefois, le terreau était lui aussi produit par décomposition de feuilles mortes. Mais de nos jours, il s’agit généralement d’un support de culture vendu en sac, prévu pour le remplissage des pots et des jardinières. Composé d’un mélange de tourbe (inerte), de fibres et d’écorce de bois, de sable… il n’améliore pas vraiment la terre et ne nourrit pas les végétaux. A l’exception de certains terreaux, plus coûteux, que les fabricants enrichissent en engrais de synthèse ou… en compost !

    Réservez donc le terreau du commerce à vos mélanges de rempotage, et pour le jardin, misez au maximum sur le compost !

2) Pour éviter de gaspiller, ou simplement pour se faire du bien, on arrête de jeter les eaux de cuisson. En cuisine comme au jardin, découvrez 5 bouillons qui ne finiront pas dans les canalisations.

Il n’y a pas de bonne cuisine sans bon bouillon ; la cuisine française, la première de toutes les cuisines, doit sa supériorité à l’excellence du bouillon français” avançait Alexandre Dumas dans son Grand dictionnaire de cuisine. Goûteux donc, mais pas que.

Quelque peu oublié, le bouillon recèle de nombreux bienfaits. Véritable concentré de nutriments, l’eau de cuisson recueille la plupart des vitamines et minéraux des aliments bouillis. C’est pourquoi le bouillon a une place de choix dans l’alimentation de nombreuses cultures asiatiques. À base de légumes, de viande ou de divers restes alimentaires, les eaux de cuisson présentent plus d’un intérêt sur le plan alimentaire autant que cosmétique.

1 L’eau des légumes pour l’organisme

Ici, pas question d’utiliser des légumes issus de cultures conventionnelles. Pour cause, les résidus de pesticides se concentrent surtout dans la peau des végétaux, et sont relâchés dans l’eau de cuisson. Pour s’éviter un bouillon chimique, on choisit donc des légumes bio.

Ceci étant établi, passons aux véritables vertus du bouillon. Lorsqu’ils sont cuits dans l’eau, les végétaux perdent une grande partie de leurs vitamines et minéraux. L’eau de cuisson, trop souvent jetée, est donc une formidable source de nutriments, idéale pour reminéraliser l’organisme.

Plus encore, le bouillon de légumes est une source d’hydratation particulièrement recommandée pour apaiser les troubles digestifs. Tant en cas de diarrhée que de constipation. Dans le premier cas pour éviter la déshydratation causée par l’excès de selles. Dans le second pour les faciliter.

Question composition, on varie les plaisirs et on ne se prive d’aucun aliment afin de tirer le meilleur de leurs nutriments. On parfume au maximum son eau de cuisson avec de l’ail, des branches de céleri, des clous de girofle ou du gingembre pour profiter au mieux de leurs propriétés.

2 L’eau du riz pour les cheveux

Systématiquement offerte au siphon de l’évier, l’eau du riz mériterait une fin plus heureuse, et plus utile. En effet, certains débrouillards s’en servent pour adoucir et faire briller leur chevelure. Pour cela, on verse l’eau de cuisson refroidie sur le cheveu préalablement lavé, on laisse agir quelques minutes puis on rince à l’eau claire.

L’amidon, constituant du riz évacué dans l’eau pendant la cuisson, est réputé pourlisser la fibre capillaire et laisser les cheveux soyeux.

3 L’eau des pommes de terre contre les mauvaises herbes

Faire bouillir des pommes de terre laisse une eau chargée en vitamines et minéraux. Cuites sans autres légumes, elles offrent un bouillon peu intéressant sur le plan gustatif. Pas question pour autant de s’en débarrasser. Tant qu’elle est encore chaude, on verse l’eau de cuisson sur les mauvaises herbes du jardin. Elle fera office de désherbant naturel pour traquer les pousses indésirables.

Son action est d’autant plus efficace si l’eau est salée. Attention toutefois à ne verser l’eau de cuisson que sur les mauvaises herbes et de ne pas non plus trop charger l’eau en sel, qui à trop haute dose peut agresser les micro-organismes vivant dans la terre.

4 L’eau des oeufs pour les plantes

On connait l’utilité des coquilles d’oeuf au jardin, on sait désormais que l’eau dans laquelle elles sont cuites peut être réutilisée. Faites de plus de 95 % de minéraux, les coquilles d’oeuf en perdent beaucoup lorsqu’elles sont plongées dans l’eau bouillante. Des nutriments qui enrichissent la terre et nourrissent les plantes.

5 Le bouillon d’os pour les défenses immunitaires

On en convient, le nom n’est pas franchement alléchant. Il s’agit pourtant d’une bonne astuce récup’, pour les mangeurs de produits carnés, qu’il s’agisse de volaille ou de viande rouge.

Plutôt que de jeter les os ou la carcasse, il suffit de les faire cuire quelques heures dans une marmite d’eau agrémentée de quelques aromates : ail, bouquet garni, oignon, persil, céleri et autre.

En plus d’être particulièrement goûteux, ce bouillon est un véritable cocktail de nutriments. Calcium, magnésium, phosphore, tous les minéraux contenus dans les eaux se concentrent dans l’eau de cuisson.

Idéal pour s’hydrater, se reminéraliser et stimuler ses défenses immunitaires.
http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/15388/5-eaux-de-cuisson-garder-absolument

 

 

 

3) http://recette-pomme-de-terre.com/actus-pommes-de-terre/les-usages-malins-de-leau-de-cuisson

LES USAGES MALINS DE L’EAU DE CUISSON

Envoyer par courriel

La pomme de terre permet de faire des merveilles. On connaît bien sûr ses qualités gustatives, donnant lieu à une quantité infinie de recettes. Cependant, comment pouvons-nous exploiter les restes de la pomme de terre ? Ainsi, vous avez déjà appris que la peau de la pomme de terre peut être utilisée pour se confectionner un masque de beauté (voir le conseil de Mlle de Terre).
Ce masque, plutôt recommandé pour une peau grasse, vous permettra d’hydrater votre visage. Mise à part la peau de la pomme de terre, vous pouvez réutiliser de différentes façons l’eau de cuisson de celle-ci. Cet élément pourra être récupéré pour en faire usage dans d’autres domaines que la cuisine. Tout comme la peau de la pomme de terre, le jus de cuisson vous servira pour fabriquer un masque aux propriétés régénératives pour votre visage. Retrouvez icicomment confectionner ce masque composé d’éléments entièrement naturels : http://www.aromatherapie-huiles-essentielles.com/masque-antirides-au-jus… possibilité, ce jus de cuisson vous permettra de nettoyer votre argenterie. Plongez les objets dans l’eau de cuisson encore chaude, puis frottez-les et

 

essuyez-les bien avec un tissu (peau de chamois si vous avez) afin de leur redonner de l’éclat. Finalement, l’eau de cuisson nous offrira une possibilité surprenante. Celle-ci pourra être recyclée dans votre jardin. Mais attention ! Il ne faut pas l’utiliser comme du compost. Très riche en amidon, cette eau agira comme un désherbant naturel et très efficace. (voir la vidéo) Voilà des conseils qui vous permettront d’éviter de créer des déchets, sans perdre une seule goutte de créativité.

 

http://www.dailymotion.com/video/xxw0m9_x-mm-2-desherber-avec-l-eau-de-cuisson-de-pommes-de-terre_webcam#.UXZNYivOTaQ

 

 

 

4) Utilité des coquilles d’oeuf

 

Question :

Bonjour Une amie m’a dit qu’elle allait mettre des coquilles d’oeuf dans son pêcher contre la cloque.. Qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà essayé ? comment et quand faut-il procéder ? Merci pour votre réponse.

Posée dans Jardinage naturel

 

Réponses :

  •  Les coquilles d’oeuf ont effectivement la réputation d’éloigner cette maladie cryptogamique. Je n’en ai jamais fait l’expérience. Si c’est réellement efficace, ce ne peut être qu’en poudrage sur le feuillage ou enfoui au pied de l’arbre. Pour ma part, j’exploite la propriété du calcium sur le pêcher en poudrant avec du Lithothamne. Efficacité garantie sur de nombreuses maladies cryptogamique s’il est appliqué préventivement.

la crevette – 11/12/2012

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  •  j’enferme les coquilles d’œuf dans un filet style filet de semence d »oignons ou p d t et je le suspend dans l’arbre.

- 01/05/2013

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  •  Mais oui ça marche ! je n’ai pas d’explication rationnelle mais le fait de suspendre des coquilles d’oeufs au pêcher empêche la cloque . c’est simple , gratuits et efficace !!! A nous les belles pêches !

- 03/05/2013

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  •  Oui on peut les suspendre dans un filet. Pour ma part, j’utilise 3 « remèdes » différents. Outre les coquilles d’oeuf, je traite régulièrement au purin d’ortie et j’ai enterré un morceau de zinc au pied de l’arbre. Je crois que le cuivre marche aussi. En tous cas le feuillage reste sain et les fruits aussi !

- 04/05/2013

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  •  Bonjour, Est-ce aussi efficace pour le poirier ?

lumagera – 14/05/2013

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  •  j’ai effectivement mis des coquilles d’oeufs dans un petit filet a oignons,la premiere foi ca avait l’air efficace. mais cette annee , cest la cata tous mes pechers ont la cloque .donc je ne suis plus sur de l’efficacite de ce procedé.

dede de montmartre – 19/05/2013

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  •  Pour moi coquilles d’oeufs totalement inefficace. Cela fait 2 ans que j’essaie, cette année c’est catastrophique, je ne sais pas si mes pêchers vont résister à la cloque.J’avais également traité à la bouillie bordelaise à la chute des feuilles et à l’apparition des bourgeons mais avec les fortes pluies ça n’a pas marché non plus.

- 30/05/2013

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  •  Bonjour J’utilise des coquilles d’œuf broyées pour éloigner les limaces de mes légumes. Pour les maladies, je ne sais pas :-) )

- 01/06/2013

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  •  l’an dernier mon pécher avais la cloque au moment de la floraison je pensais méme qu’il allait mourir , j’ai tenter les coquilles d’œufs dans un sac de p d t attaché aux branche ; a ma grande surprise mon pécher a mis de nouvelles feuilles la cloque a complètement disparue et le pire c’est j’ai eu pas mal de superbes fruits , est ce ça ou pas qui l’a remis en route ? mais j’ai tenté bonsoir a tous

jeanpierrus – 19/02/2016

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  •  La coquille d’œuf est recouverte d’une substance protectrice anti-bactéries : je suppose qu’il faut mettre des coquilles non lavées et que les pluies vont faire pénétrer cette substance dans le sol et désinfecter l’arbre.

Renseignem.Généreux – 22/02/2016

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  •  On m’a dit de mettre au pied des pêchers des gousses d’ail pour qu’ils n’aient pas la cloque, donc je n’ai pas encore essayé mais je l’ai entendu plusieurs fois. Donc essayez ce n’est peut-être pas trop tard ou cela sera pour l’an prochain.

lilou68 – 12/05/2016

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  •  J’ai fait ça sur un petit laurier sauce (env.1 m) atteint de cloque… Et ça a marché! Mais ne me demandez pas pourquoi…

Kittypuz – 19/05/2016

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  •  Bonjour, Mes capucines (qui re-fleurissent spontanément tous les ans depuis 20 ans dans un terrain détestable) ont été envahies et détruites l’an dernier par des milliers d’altises. Sur ce site, quelqu’un m’avait conseillé de saupoudrer les fleurs de coquilles d’oeufs pulvérisées…J’en ai fait un stock et attends les insectes au tournant, mais ils semblent s’être donné le mot et se sont inscrits aux abonnés absents. Enfin, attendons…

Minouton – 27/05/2016

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  •  Je confirme. Depuis 5 ou 6 ans,j’utilise des coquilles d’oeufs pour lutter contre la cloque. Ca marche.On ne peut pas expliquer pourquoi,mais cela supprime la cloque et j’en suis très satisfait.

claude34 – 27/05/2016

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  •  je voudrai savoir si ce sont des coquilles d’oeufs cuits ou crus ou si tout peut aller et qu’il n’y est pas d’importance

poupée – 31/05/2016

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  •  question 05 2016 coquille d’oeuf il faut qu’elles soient crues

lacazessmp – 13/06/2016

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  •  Bonjour – effectivement ceci est très efficace. Il suffit de suspendre des coquilles d’œufs crus (coquilles d’œufs à la poële) dans des petits sacs (3 ou 4) contenant des citrons, aux branches du pêcher, dès l’apparition des premières feuilles. Cela fait trois ans que je réalise cette « recette » et cela fonctionne très bien. Mon pêcher n’a plus eu de cloque.

tonton30 – 15/06/2016

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  •  bonjour , depuis que j’ai vu cette  » recette  » aux coquilles d’œufs , je l’essaye sur un pêcher de vigne ( un rejeton ) qui me donne de belles petites pêches au bon goût !! pour l’instant mon pêcher qui cloquait ces dernières années à l’air d’apprécier …affaire à suivre ….

mitchi – 19/06/2016

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  •  Désolé j’ ai vraiment essayé y compris avec de l’ apport de plaque de zinc au pied: résultat néant. J’ ai toujours fait les traitements d’ hiver, et produit pour cloque (densité de cuivre supérieure à la bouillie bordelaise). J’ ai fait au printemps un traitement contre la cloque, à différentes étapes des bourgeons fruitiers -sur plusieurs années- Il me faut trouver des produits professionnels, trés difficile à obtenir. Quant aux traitements bio ça marche sauf que là aussi pas moyen d’ avoir les produits !!

clodin – 22/06/2016

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  •  voila deja des années que j’ essais ce procédé sans aucun mais vraiment aucun résultat quant au autre produit j ai l impression qu ‘ils nous vendent des poudres de perlinpinpin (il y a peut ‘ etre le fait que je les utilise mal ? )

mimille – 25/06/2016

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  •  bonjour .pour. ce qui. concerne la cloque, depuis 2ans j’ais mis des coquilles d’oeufs et aucun résultat ! j’avais suspendus des coquilles dans un petit filet, j’avais planté de l’ail au pied. moi personnellement je ne recommencerais pas mais , d’autres ont des résultats. alors,je suis perplexe ! bonne journée.

roland86 – 06/07/2016

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  •  700 coquilles disponibles (surtout cuits a la coque)..ce printemps…j’ai tenté le coup : pour 15 péchers, mon épouse a mis à chaque pied des POIGNEES de coquilles…et marché dessus consciencieusement….et bien , ce 25 du mois de juin, il n’y a que 10 feuilles cloquees pour les 15 arbres………UN a été oublié (pas de coquilles)…et lui a 20 feuilles cloquees Depuis 30 ans , je mettais du sulfate de cuivre 2 ou 3 fois entre nov et mars….j’avais de MOINS BONS RESULTATS globaleOment : c’est incroyable et il nous faut maintenant une vraie explication scientifique .

michel32230 – 07/07/2016

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  •  Pour ma part j’ai entendu dire que les moitiés de coquilles ne doivent pas être empilées. Isolées, elles doivent être disposées dans le filet à l’envers. Les insectes qui provoquent a cloque pondent alors sous les coquilles, et non sous les feuilles. D’où une limitation de la maladie. Mais je n’ai jamais essayé. Alors…

René – 08/07/2016

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  •  Parlez aussi variétés dans vos expériences car ça dépend aussi de la sensibilité de la variété à cette maladie. Choisissez bien vos fruitiers si vous voulez des arbres en bonne santé.(Terroir,sensibilité à la maladie,et goût) ça facilite déjà ainsi naturellement l’efficacité de ce genre de remède.

zowyloony – 11/07/2016

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  •  Je précise que « la cloque du pêcher » est une maladie Cryptogamique c’est-à-dire dû à des champignons microscopiques . Toutes les explications et précisions concernant des insectes n’ont aucuns rapport avec cette maladie. A ma connaissance personne n’a d’explication sur l’agissement des coquilles d’ œufs, je peux cependant témoigner que je l’ai essayé avec succès, cette année, dans mon verger sur des pêchers.

mainsvertes – 11/07/2016

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  •  Bonjour, Suspendre des coquilles d’oeufs au pêcher empêche la cloque, oui mais quand faut-il les accrocher?

K.therine – 14/07/2016

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  •  Je découvre le site très intéressant en fait et repond à la personne qui a des problèmes avec les capucines. Ces fleurs sont conseillées dans le traitement des pucerons et autres car cest un veritable aimant pour ces insectes. Je nai plus de pucerons dans mes jeunes cetisiers ni dans mes rosiers, tous ont pris logement sur les capucines mises à proximité. Un coup dinsecticide végétal de temps en temps et cest impeccable. Bien plus pratique que de traiter un cerisier à 2.5 m de hauteur…..Désolé mais les capucines sont par nature infestées.

Riri le jardinier – 16/07/2016

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  •  Bonjour; Depuis de nombreuses années j’ai testé les coquilles d’œufs, à ma grande surprise plus de cloque. Cette année je ne l’ai pas fait, j’ai cru que mes pêchers allaient crever…. Il faut mettre des coquilles d’œufs frais tous les ans dans un filet suspendu aux branches du pêcher (2 ou 3) suivant la taille de votre arbre. Il faut renouveler l’opération tous les ans avec des coquilles d’œufs non cuits.

gdve – 24/07/2016

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  •  J’ai mis une demie coquille d’oeuf sur des bouts de branches de péché et le résultat est fabuleux. J’avais enlevé les feuilles avec les cloques , il n’en n’est pas revenu d’autres. GENIAL.

mbbch@orange.fr – 05/08/2016

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  •  Désolé mais pour moi résultat « ZERO », j’ ai l’ opportunité de récupérer des coquilles d’ oeufs -non cuite et par centaines- que j’ ai pendu sur mon pêcher et autre brugnon, et mis du zinc au pied cela pendant 3 ans. Cet hiver/printemps étant absent je n’ ai pu récupérer les coquilles d’ oeufs, seul le zinc était en place, et bien ….. mes deux arbres se portent mieux, pas trés bien mais mieux. Alors ????

clodin – 22/08/2016

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  •  j aimerai repondre a minouton qui a des problemes d altises, je traite mes choux avec une infusion de feuilles de sureau a la quelle j ajoute un peu de liquide vaisselle, ce n est pas rapide mais ca marche, les altises disparaissent.

barbapapa – 01/09/2016

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  •  Les coquilles d’œufs sont particulièrement efficaces quand les coquilles n’ont pas subit de cuisson. Pour ou plutôt contre les altises l’extrait de sureau est très efficace de même que l’extrait de fougère.

routan – 28/10/2016

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  •  3de mes pêcher ont la charge cloque tout les ans,depuis 3ans, je mets des coquilles d’oeufs et au qu’en résultats ! je les arrachés. pourquoi

roland86 – 31/10/2016

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  •  Il est impératif que les coquilles d’œuf n’aient pas cuit, elles doivent être crues. Pour les extraits de vsureau ou de fougère ou autres, il est impératif d’utiliser des récipients en plastique , en inox ou en alu mais surtout pas en ferraille et il faut utiliser uniquement de l’eau de pluie.

routan – 11/11/2016

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  •  Bonjour , toutes vos réponses me laissent bien perplexe , il y a les pour et les contre les coquilles . on ne peut rien en penser puisqu’aucune analyse scientifique n’a été faite . je suis étonnée que personne ne parle du climat de la région habitée .les pêchers détestent la pluie et l’ humidité du printemps , donc les régions atlantiques , ils aiment le soleil en permanence . IL ne faut donc pas s’étonner que les pêchers soient surtout très nombreux ds le Sud et qu’ailleurs ils attrapent la cloque .

 

 

5) Semer salades et tomates à l’intérieur

résultats de mes recherches

http://www.rustica.fr/tv/planter-salades,6275.html

 

http://www.rustica.fr/articles-jardin/planter-tomate,4307.html

http://www.rustica.fr/articles-jardin/semer-tomate,1581.html

http://tousaupotager.fr/quand-comment-planter-tomates/

http://www.rustica.fr/articles-jardin/tomate-cerise-plus-facile-cultiver,978.html

http://www.rustica.fr/tv/semer-tomates-chaud,5839.html

 

http://www.rustica.fr/articles-jardin/reussir-ses-semis-sous-serre-ou-veranda,3880.html

 

http://www.rustica.fr/articles-jardin/calendrier-semis-recoltes-potager,5196.html

 

 

 



Le jardin optimiste se prépare
16 février, 2017, 11 h 40 min
Classé dans : Non classé

Le jardin optimiste change de jours:

 

Ce sera mercredi et dimanche.

 

Pour le moment à 14h30.

 

Horaires et jours à confirmer en s’inscrivant:

estelle.garson@laposte.net

 

Prochain rendez-vous dimanche 26 février à 14h30

La terre sera encore préparée, nous préparions les jardinières et faisons le point des graines récupérées

entre autres samedi 25 au troc d’arcueil, et des semis à faire.

 

Si vous avez des graines ou des plants à nous fournir, des choses à planter, nous sommes preneurs.

Vous pouvez les déposer au CRAC.

 

Nous recherchons toujours 2 belles caisses qui devaient servir de jardinières.

 

Merci de nous aider à remplir le composteur mais attention, pas de pain, de papier, de noyaux ou graines.

A bientôt.



Le jardin optimiste est de retour en 2017
10 février, 2017, 19 h 45 min
Classé dans : Non classé

Jardiner ensemble, échanger des savoirs,

• Apporter ses compétences, des plants, des graines, des astuces, des idées…

• Préparer le terrain : bêcher, nettoyer

• Construire une serre, Construire des potagers carrés

• Planter, produire, entretenir et consommer sa production !

• jeudi de 14h à 16h

• dimanche de 15h à 17h

 

 



Les salades sont bien pommées
29 mai, 2016, 17 h 09 min
Classé dans : Non classé

Il faut couper une salade du jardin pour la consommer avant les limaces et les escargots.

Elles sont prêtes et vont monter en graines.

On plante maintenant derrière le long de la maison et la renouée a été bien attaquée!

Quelques plantes ont disparu mais les fraisiers qui restent et les choux pointus qui restent sont bien.

Tout ça attend le soleil! Comme nous.



La renouée du Japon envahit le jardin optimiste
16 mai, 2016, 10 h 04 min
Classé dans : Non classé

Qu’est-ce que la renouée?

 

La Renouée du Japon, la mal-aimée des jardiniers

 

Une plante invasive nous pose aujourd’hui de gros problèmes. Originaire d’Asie, la Renouée du Japon a été introduite en France par des horticulteurs pour ses caractéristiques esthétiques rappelant parfois le port du bambou.

Sa capacité à coloniser rapidement les milieux ingrats, perturbés et humides, sa vigueur, elle peut pousser de 1 à 4 cm par jour, et les problèmes de concurrence avec les plantes du jardin et la flore indigène, font qu’elle est aujourd’hui classée par les naturalistes dans la catégorie des plantes invasives. Une peste végétale pour les botanistes et les jardiniers.

La Renouée du Japon nommée Fallopia Japonica, est cousine de nos renouées de jardin, décoratives

C’est une plante vivace dont les tiges peuvent atteindre 2 mètres. Son exceptionnelle capacité de multiplication par fragments de rhizomes a facilité son expansion. Pour éviter sa dissémination, il faudra donc éviter le broyage. Elle résisterait même aux désherbants traditionnels autorisés au jardin.
Seul un fauchage régulier et bien géré, un binage ou un dessouchage avec évacuation et destruction des rémanents en déchèterie s’avèrent efficaces.
Les jardiniers écoresponsables doivent dorénavant détruire ou limiter l’expansion de cette redoutable invasive. Cette pollution végétale nuit à la biodiversité et aux méthodes de culture alternatives.

 

Ci-joint un lien vers un document explicatif:

http://syndicatdelorge.fr/decoupes/entretenir/plaquettepro.pdf
  

 

Estelle



Réunion des jardiniers optimistes dimanche 1er mai
1 mai, 2016, 18 h 15 min
Classé dans : Non classé

La renouée résiste.

Après réflexion, avant d’avoir recours au désherbant car la plante est très coriace et invasive, nous décidons d’attaquer en arrachant un maximum de renouée, en plantant le reste de l’autre côté de la maison et dans de grandes jardinières et de grands pots.

Nous nous laissons un peu de temps et restons optimistes!

Par contre c’est une plante qu’il ne faut mettre ni au compost ni dans un sac de déchets verts: il faut la mettre dans des sacs poubelle et dans la poubelle de déchets ménagers pour éviter tout risque de prolifération du fléau. Elle n’est pas toxique mais il faut aussi nettoyer ses outils et ses chaussures.

 

Estelle pour le groupe réuni

 

Il y aura du monde mardi.

Dimanche nous n’y serons pas.



PLANTES INVASIVES AU JARDIN
28 avril, 2016, 18 h 19 min
Classé dans : Non classé

jeudi 21 et jeudi 28 avril
Album : jeudi 21 et jeudi 28 avril

2 images
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   Alain avait envoyé le message suivant que je publie pour que tout le monde soit informé de ce qu’il faut faire pour éliminer ces plantes qui commencent à envahir le jardin.

Aujourd’hui quand je suis venue, Evelyne était au jardin,  et elle n’avait pas eu l’info sur le blog; alors au cas où quelqu’un viendrait seul au jardin:

voici la photo d’Alain.

Le fichier pdf de son désherbeur, je ne peux pas, je le laisserai faire.

Bonjour,

Je suis passé cet après-midi au jardin avec Brigitte. Il est rempli de petites pousses d’une plante invasive, la Renouée du Japon qui vont rapidement prendre le dessus sur les plantations si l’on n’agit pas rapidement et régulièrement. Cette plante peut atteindre 1m à 1m50 de haut et s’étend par les racines. Il faut éviter de l’arracher à la main car elle présente les mêmes caractéristiques que le liseron, c’est à dire que chaque éclat laissé en terre refait une ou plusieurs nouvelles plantes.

     

Jean-Marie préconise de verser dessus de l’eau bouillante ou de passer un désherbeur thermique. Je pense que l’on peut employer les 2 méthodes parallèlement. Le désherbeur sur les surfaces herbacées (en enlevant le paillis avant pour éviter qu’il ne s’enflamme) et l’eau bouillante pour les rejets qui sont venus se mettre derrière la clôture. 

il va falloir de la patience et faire plusieurs passages.

J’ai ramené un désherbeur que j’ai rangé par terre dans la cuisine. Ce n’est pas la peine de calciner complètement la plante, quelques secondes suffisent pour faire éclater les cellules de la plante et la faire mourir. Il faut écarter le paillis avant, surtout la paille qui s’enflamme facilement. Prévoyez une bassine d’eau.

Alain

 

 

Au fait, il y a du terreau.

Estelle



Terreau à la foire horticole samedi 23 avril 2016
19 avril, 2016, 10 h 28 min
Classé dans : Non classé

Pas de récupération de terreau collectivement sur la place Dampierre à Bagneux samedi 23 avril à la foire horticole, mais il est possible à chacun de prendre 1 ou 2 sacs de terreau tout prêts pour le jardin optimiste.

De plus il y a peut-être encore de la terre et  »des énormes tas de bois broyé se trouvent sur le parking de la bulle des sports au bout du sentier des monceaux ».

Je n’ai pas trouvé, mais vous peut-être.

(Précision de Charles: https://drive.google.com/open?id=15wmO7iDrwnxm-4dMUGXTXOaM9aE&usp=sharing)

Jardin optimiste le jeudi et le dimanche à 15h.



Dimanche 10 et jeudi 7 avril 2016
10 avril, 2016, 16 h 26 min
Classé dans : Non classé

Dimanche 10 et jeudi 7 avril
Album : Dimanche 10 et jeudi 7 avril

4 images
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 Et voilà le travail!

Programme:

-rendez-vous samedi 23 avril à la foire horticole pour le terreau place Dampierre

-récupération de »bons » 

-préparation du jardin et recherche de semences

rechercher des lieux ou sites de troc ou échange ou dons

Il y a paraît-il quelque chose à Bourg la Reine ou l’Haÿe les Roses, à creuser…

Je n’ai rien trouvé à part ça:

http://www.trocalimentaire.com/

Estelle



Les rendez-vous du dimanche
7 avril, 2016, 18 h 40 min
Classé dans : Non classé

Prochains rendez-vous dimanche 15h-17h.:

Dimanche je ne ferai que passer, je dois travailler.

Dimanche 17 je n’y serai pas.

Le 24 je ne suis pas sûre d’y être, à confirmer.

J’espère qu’il y aura du monde pour biner ce qui reste.

 

Pour le ramassage des déchets, mieux vaut finalement, par souci de récupérer des déchets non traités, prendre uniquement les siens ou ceux des voisins qui ne traitent pas.

Pas de déchets « anonymes » quoi.

Sinon ils vont au compost.

Estelle


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